Le Code de la route et les règles de stationnement

Le Code de la route définit les règles de circulation routière, y compris les règles de stationnement. Il est important de se familiariser avec le Code de la route pour connaître les différentes infractions liées au stationnement et éviter de les commettre.
Le Code de la route est accessible en ligne et peut être consulté gratuitement. Il est également possible de s’inscrire à des formations en ligne, comme celle-ci https://www.stych.fr/code-de-la-route, pour apprendre les règles de circulation routière. C’est une étape obligatoire pour réussir l’examen théorique du permis b.

Les types de stationnements interdits

Il existe plusieurs catégories d’infractions qui concernent principalement trois types de stationnements :
Le stationnement abusif,
Le stationnement dangereux,
Le stationnement gênant.

Le stationnement abusif

Ce type d’infraction est caractérisé par un stationnement excessivement long, dépassant la durée autorisée. Il concerne notamment les zones réglementées où le stationnement est payant ou limité dans le temps (ex : zone bleue). Le stationnement abusif est passible d’une contravention de première classe et d’un FPS (Forfait Post-Stationnement).

Le stationnement dangereux

Un stationnement est considéré comme dangereux lorsqu’il met en danger la sécurité des autres usagers de la route, notamment lorsque celui-ci se fait :
Sur une chaussée où la visibilité est réduite (virage, sommet de côte…),
A proximité d’un feu tricolore ou d’un panneau de signalisation,
Sur un trottoir, une piste cyclable ou une voie réservée aux véhicules spécifiques (bus, taxis…),
En double file.
Le stationnement dangereux est passible d’une contravention de quatrième classe. Cette infraction peut également entraîner la mise en fourrière du véhicule.

Le stationnement gênant

Un véhicule stationné gêne le passage des autres usagers lorsqu’il empêche :
– Leur déplacement sur les voies publiques,
– L’accès à leur propriété privée,
– L’accès aux services de secours (pompiers, police…),
– Le chargement et déchargement de marchandises dans des zones réservées à cet effet.
Le stationnement gênant est sanctionné par une contravention de deuxième ou troisième classe, selon les cas. Comme pour le stationnement dangereux, cette infraction peut aussi entraîner la mise en fourrière du véhicule.

Les sanctions liées au stationnement

Les forces de l’ordre sont habilitées à verbaliser les conducteurs qui ne respectent pas les règles de stationnement. Les principales sanctions sont :
– Le montant du FPS (Forfait de post-stationnement,
– L’immobilisation du véhicule (pose de sabot),
– La mise en fourrière,
– La suspension du permis de conduire, en cas de récidive.
Ces sanctions peuvent être contestées par une démarche encadrée, notamment via le recours administratif préalable obligatoire (RAPO). Il convient cependant de souligner que la contestation du FPS doit être motivée et appuyée par des preuves.

Les dispositifs d’aide au paiement des amendes routières

Afin de permettre aux usagers de faire face au coût des infractions liées au stationnement, le législateur a prévu des dispositifs d’aide au paiement. Ces dispositifs sont accessibles aux personnes qui rencontrent des difficultés financières.
· Le paiement fractionné des amendes routières permet de régler ses contraventions en plusieurs échéances.
· La consignation du montant de l’amende consiste à bloquer la somme due sur un compte auprès de la Trésorerie Principale sur présentation d’une garantie suffisante (ex : caution). Le conducteur peut ensuite procéder au règlement de la totalité de l’amende après avoir reçu l’accord de la juridiction compétente.
· La réduction de 50 % du montant de l’amende pour les personnes qui règlent leur contravention dans les 45 jours.
· Le paiement en chèques-services…
Les infractions liées au stationnement peuvent avoir des conséquences importantes, tant pour le conducteur que pour les autres usagers de la route. Il est donc important de connaître les règles de stationnement et de s’y conformer pour éviter les sanctions.
Pour s’entraîner à respecter les règles de stationnement, il est possible de suivre une formation en ligne ou de se référer au Code de la route. Il est également important de rester vigilant sur la route et de respecter les panneaux de signalisation.

L’improvisation est votre ennemi

L’improvisation n’a pas sa place dans la conduite, surtout s’il s’agit d’un camion. Assurez-vous d’avoir tous les équipements indispensables pour faire face aux imprévus de la route. Vous devrez avoir un sac de sable et une pelle qui vous seront utiles sur les routes non déblayées. Vous aurez également besoin d’un dégivrant ou d’un grattoir pour dégivrer le parebrise et les fenêtres. Prévoyez également un gilet jaune pour avertir les autres automobilistes de votre présence en cas de panne au milieu de la nuit. N’oubliez pas vos câbles de démarrage. Ils vous seront utiles en cas de panne. Vérifiez le niveau de carburant dans le réservoir avant de prendre le volant.

Passez le camion en revue avant de rouler

Pour limiter les accidents en hiver, vous devez vérifier minutieusement l’engin avant de vous mettre en route. Les pneus sont les premiers éléments à vérifier. Ils doivent être en excellent état et avoir une bonne adhérence. Inspectez également la batterie du camion. La batterie se vide rapidement avec le froid. Assurez-vous alors qu’elle est bien chargée avant de mettre le contact. Vérifiez également les essuie-glace, le niveau des liquides, les feux de signalisations ainsi que le pot d’échappement.

Informez-vous sur la météo

Vous pourrez anticiper votre conduite si vous connaissez le temps qu’il fait. Vous pourrez également vous équiper en conséquence. Équipez-vous donc d’un GPS et d’une radio pour être au courant des possibles changements climatiques.

Comportez-vous bien sur la route

Les routes peuvent être verglacées en hiver. Pour éviter les accidents, pensez à garder une distance de sécurité entre vous et le véhicule devant vous. Quand l’asphalte est mouillé, vous devez multiplier par deux votre distance de freinage. Celle-ci sera d’autant plus sur une route verglacée. Ces informations sont cruciales pour limiter les accidents de la route. Limitez les freinages et les accélérations brusques pour avoir le contrôle total du véhicule. Gardez toujours vos phares allumés de jour comme de nuit qu’il neige, qu’il vente ou qu’il pleuve. Vous devez avoir une vision parfaite et dégagée de la route, quelles que soient les conditions météorologiques. Gardez vos deux mains sur volant pour avoir un meilleur contrôle du véhicule. Il est préférable de limiter au maximum la vitesse du véhicule.

Déclaration de cession à faire en ligne

La déclaration de cession est exigée par la loi. Autrefois, l’on devait l’effectuer à la préfecture. Désormais, cette déclaration de cession doit être effectuée en ligne. C’est la seule option valable pour tous les usagers. Vous ne devez plus vous rendre à la préfecture pour ce faire, ce qui est en somme bien avantageux à bien y réfléchir. Vous n’avez plus à vous déplacer et plus de temps perdu à faire la queue non plus une fois sur place. Vous pouvez entreprendre la totalité des démarches à partir de chez vous ou de tout autre endroit où vous avez accès à Internet. Suite à la mise en place du Plan Préfecture Nouvelle Génération ou PPNG, toute formalité comme l’immatriculation ou la déclaration de cession doivent se faire en ligne.

Le site officiel par lequel vous devez passer est celui de l’Agence Nationale des Titres Sécurisés ou ANTS. Commencez par vous identifier via votre compte France Connect, puis remplissez le formulaire dédié. Vous obtiendrez ensuite un code de cession que vous devez transmettre au plus vite à l’acquéreur. Cependant, il existe d’autres sites de spécialistes agréés par le ministère de tutelle. Donc, vous pouvez vous adresser à l’un de ces sites en toute sérénité et en toute sécurité. Si vous passez par un tel prestataire, vous n’avez pas besoin de code, car ce professionnel se charge de tout. Il vous suffit de lui envoyer l’ensemble du dossier.

Les pièces justificatives nécessaires pour une déclaration de cession

Pour effectuer une déclaration de cession sur declaration-cession.fr, quelques pièces justificatives sont à présenter. En premier, il faut le certificat d’immatriculation du véhicule vendu ou cédé, certificat barré et portant la mention « Vendu le (jour, mois, année) » ou « Cédé le (jour, mois, année). Si vous cédez votre véhicule pour destruction, cette précision doit aussi être apportée sur le certificat d’immatriculation en inscrivant « pour destruction » dessus. En second lieu, vous devez présenter votre pièce d’identité qui peut être votre carte d’identité ou votre passeport. Puis, si votre véhicule a plus de 4 ans, vous devez fournir le procès-verbal du contrôle technique de moins de 6 mois et en cas de contre-visite, de moins de deux mois. C’est avec ces documents que vous pouvez faire la déclaration de cession.

La déclaration de cession est obligatoire parce que pour l’administration, c’est ce qui officialise la vente de votre véhicule et pour le nouveau propriétaire, c’est ce qui lui permet d’immatriculer le véhicule à son nom. Mais c’est aussi bénéfique pour vous d’entreprendre ces démarches parce qu’une fois que le véhicule est au nom de l’acheteur, vous êtes libéré de toute responsabilité par rapport au véhicule. Si jamais un incident ou un accident survenait sur le véhicule, vous ne serez plus inquiété puisque votre nom n’apparaît plus nulle part. Quelle que soit l’infraction commise par le nouveau propriétaire, cela ne vous concernera plus. Vous ne recevrez pas d’amendes pour d’éventuels problèmes de stationnement ou d’excès de vitesse.

Effectuez la déclaration de cession

Que vous le vouliez ou non, que vous ayez le temps pour cela ou non, vous devez absolument chercher et trouver un moyen d’effectuer la déclaration de cession si vous vendez ou cédez votre véhicule. C’est une obligation imposée par la loi et personne n’en est exempté. Bien sûr, les professionnels agréés vous font gagner du temps parce que vous n’avez qu’à leur envoyer les documents et ils se chargent de tout. Bref, vous n’avez aucune démarche fastidieuse à faire. Sachez que cette procédure est payante. Ceci étant, le coût n’est pas excessif. Renseignez-vous sur les tarifs appliqués par les différents prestataires. Comparez et voyez lequel répond au mieux à vos besoins. Pour information, une déclaration de cession est établie en deux exemplaires, un pour vous en tant que vendeur et l’autre pour l’acheteur afin qu’il puisse compléter son dossier de demande de nouvelle carte grise.

Le fait que la déclaration de cession soit faite en ligne vous facilite la vie. Donc, prenez le temps de l’effectuer rapidement. Il faut vous rappeler qu’il y a un délai que vous ne pouvez pas dépasser pour la déclaration de cession. La loi vous donne 15 jours et pas davantage, alors, il vaut mieux vous y atteler au plus vite, cela protégera les parties concernées, c’est-à-dire vous et l’acquéreur.

Un sac selon le trajet

Si vous souhaitez partir en moto pour faire un long trajet, vous devez opter pour un sac léger. En effet, plus la charge supportée par la bécane est importante, plus elle consommera de carburant. Il faut, de ce fait, veiller à ce que le sac que vous emportez soit pratique, permettant de ranger un maximum d’affaires sans alourdir le poids total de la moto. Vous devez également opter pour le confort en évitant un sac encombrant. Quoi de mieux, dans ce cas, qu’une sacoche de réservoir ? Elle est installée devant le motard et est souvent de petite taille. Il propose un rangement intelligent de vos affaires. De plus, vous pouvez atteindre facilement le sac même en conduisant.

La qualité du sac

Un sac pour moto doit également être choisi en fonction de la qualité de sa matière. Si vous voulez un sac intérieur de valises pour moto, il faut que ce dernier soit conçu dans une matière aussi solide que la valise où elle sera intégrée. En tissu, en cuir, le sac doit être imperméable et supporter les abrasions. Si vous avez une moto BMW, retrouvez ici des sacs intérieurs de valises pour moto BMW.
Vous avez également les sacs pour moto conçus dans une coque rigide. Ces derniers sont idéals si vous transportez des objets fragiles. Ce sera d’autant plus approprié si vous optez pour un sac rigide d’intérieur de valise afin d’optimiser la protection de vos affaires lorsque vous roulez à moto.

Un blouson adapté qui associe style, confort et conduite sécurisée

Avoir une veste de motard pour chaque saison est l’idéal. Chaque blouson doit avoir des qualités protectrices. Sachez que la veste de motard fait aujourd’hui l’objet d’une homologation et se doit de respecter la norme EN 13 595. Quel que soit le type de blouson que vous choisirez, qu’il soit en cuir ou en matière textile, vérifiez qu’il a été conçu dans le respect de cette norme de sécurité.
La résistance à l’abrasion de la veste est l’un des critères sur lesquels vous devez baser aussi votre choix. Vérifiez également que la veste qui vous plait dispose de protections adéquates sur les épaules et les coudes. Ces coques, qu’elles soient souples ou dures, doivent respecter les normes de sécurité de 1621-1 et doivent disposer d’une homologation CE. Pour plus de sécurité, il est conseillé d’opter pour des protections respectant la norme 1621-1 de niveau 2. La majorité des blousons de motard sont aussi équipés d’une protection dorsale. Une protection répondant à la norme EN 1621-2 niveau 2 est à privilégier. Enfin, une veste disposant d’une doublure thermique amovible vous permettra de jouir de plus de confort en hiver comme en été. Un vêtement à la fois étanche et fait en matière respirante vous garantit plus de confort.

Quelles chaussures porter ?

Bon nombre de motards négligent la nécessité de porter des chaussures adaptées à la conduite de moto. Or, en cas de chute ou d’accident, les pieds font partie des éléments qui risquent d’être les plus gravement touchés. Si vous ne voulez pas utiliser une canne pour tenir debout le restant de vos jours, faites le choix de porter des chaussures adaptées lorsque vous conduisez votre engin sur route. Les bottes pour motard que vous pouvez trouver chez Cardy.fr sont conçues pour protéger les parties inférieures de vos jambes. Elles offrent une meilleure protection à vos os, vos tendons, vos chevilles et vos talons. Pour plus de confort, opter pour des bottes faites en matières respirantes est recommandé. Si vous avez une certaine aversion au port de bottes, vous avez le choix entre différents modèles de chaussures spécialement conçues pour les motards. Celles-ci peuvent facilement se porter toute la journée : elles ne vous gêneront pas dans vos mouvements. Si vous conduisez en milieu urbain, les modèles étanches, munis de semelles antidérapantes sont à privilégier. Si vous conduisez sur l’autoroute, les bottes disposant de renforcements à la hauteur des chevilles, du coup de pied et des talons sont meilleures. Une paire de chaussures entièrement étanche est également indispensable. Prenez le temps de vérifier le système de fermeture présent sur la chaussure. Vous avez le choix entre des modèles adoptant des systèmes de velcros, de boucles, etc. Choisissez toutefois un modèle en fonction de l’usage que vous en ferez ainsi que de la fréquence de son utilisation.

Les centres de formation pour les jeunes pilotes

Pour avoir une chance de percer dans ce métier, il faut commencer très tôt. Il existe quelques centres permettant aux jeunes de 13 et 16 ans de suivre des formations en vue de devenir des professionnels de la course moto. Pour intégrer l’une de ces formations, il faut soit se faire remarquer par les responsables soit déposer ses dossiers auprès d’un centre. Les dossiers nécessaires sont souvent les bulletins scolaires ou les dossiers scolaires. Parmi les centres les plus prometteurs, il y a celui de Bourges dirigé par Donald Adams, un ex-champion de motocross. Il y a ensuite le pôle d’Ales, animé par Jean-Jacques Bruno et Oliver Robert. Les jeunes pilotes qui suivent ces formations ont plus de chance de se faire recruter par les constructeurs et auront moins de difficulté à intégrer le milieu professionnel.

Les difficultés du métier

Même avec la passion, il est difficile d’atteindre un niveau professionnel. Seuls quelques surdoués peuvent percer dans ce métier. En effet, il faut pouvoir consacrer beaucoup de temps aux entrainements afin d’atteindre un niveau compétitif. Les personnes qui ne sont pas issues d’une formation de pilote sont celles qui rencontrent le plus de difficultés, car elles devront se financer elles-mêmes. Si l’achat d’une moto de compétition constitue déjà un lourd investissement, ces pilotes indépendants devront également prendre en charge eux-mêmes les carburants qu’ils consommeront durant les entrainements, mais aussi les vêtements adaptés et autres accessoires. N’étant pas issus d’un centre de formation, ils auront plus de mal à faire valoir leurs compétences. Par ailleurs, gagner l’appui d’un sponsor leur sera plus difficile. Mener une compétition jusqu’à son terme exige pourtant de disposer de moyens de financement importants. Le principal frein à l’accès au niveau professionnel est donc le financement. Franchir cet obstacle nécessitera des efforts considérables.

les spécificités des amortisseurs de 4×4

Un amortisseur a pour rôle d’absorber les chocs que peut recevoir une roue sur la route. Cela permet à la voiture de garder une certaine stabilité même sur un terrain en mauvais état. L’amortisseur est généralement constitué d’un piston dont le mouvement est freiné par de l’huile qui circule à travers des clapets. Il empêche la suspension généralement constituée de ressorts, de rebondir après un choc. Pour le cas d’un 4×4, l’amortisseur jouit d’une plus grande taille. Il est également plus résistant et offre un débattement plus important. Cet élément n’exige aucun entretien spécifique. Il suffit d’effectuer un contrôle régulier et un nettoyage fréquent. Par contre, lorsqu’un amortisseur est endommagé, il faudra effectuer un remplacement par paire.

Les différents types d’amortisseurs 4×4

Il existe 3 gammes d’amortisseurs disponibles qu’on peut trouver sur le marché. La première est la gamme d’amortisseurs d’origine. Les pièces de cette catégorie d’amortisseur offrent une performance suffisante pour le type d’utilisation auquel est destiné le véhicule. Il permet en général de rouler à la fois sur la route et sur les chemins de terre. Il y a ensuite les modèles renforcés. Ils sont destinés à être utilisés dans des milieux un peu moins urbains (routes cabossées, chemins en forêt, etc.). Et pour finir, il y a les amortisseurs de compétitions qui sont faits pour un usage sportif. Ces derniers disposent de plus de technicité étant donné que la performance est un point important dans le milieu sportif.

Le prix des amortisseurs 4×4

Vous pouvez trouver des amortisseurs d’origines dans les réseaux de constructeurs ou chez un distributeur indépendant. Ils se vendent par paire et coûtent en moyenne 240 à 350 euros. Pour les amortisseurs renforcés, il est possible d’en obtenir chez un distributeur indépendant ou chez un spécialiste 4×4. Ils coûtent en moyenne entre 300 et 400 euros.

Souci de batterie ou de démarreur

Le matin, il est possible que votre voiture refuse de démarrer. La première chose à faire c’est de vérifier l’état de la batterie. En effet, il est possible que les cosses de cette dernière soient en cause. De la rouille et l’humidité de la nuit peuvent avoir attaqué ces cosses et que le courant de la batterie ne passe plus normalement. Ce qui va causer de la difficulté au démarrage alors que vous avez une charge de batterie qui est correcte. Pour vérifier ces cosses, sachez tout d’abord que ce sont des éléments qui ont une couleur grise claire, comme la couleur naturelle du métal. Si elles s’assombrissent ou que vous voyez des traces d’oxydation, c’est que les cosses doivent être nettoyées. Cela peut se faire par vos propres moyens, sans avoir à appeler un pro. Pour ce faire, prenez un papier de verre et nettoyez les cosses avec ce dernier. Une fois que c’est fait, enduisez-les d’un peu de graisse. Si cela ne fonctionne pas, il est possible que le souci vienne du démarreur. Sachez que ce dernier est actionné par un petit moteur qui fonctionne avec l’électricité provenant de la batterie et qui peut se fatiguer avec le temps. Sachez aussi qu’un dépannage à ce niveau, par un spécialiste, peut couter assez cher. Pour éviter de dépenser dans ce cas, vous pouvez effectuer l’un des gestes ci-après. Premièrement, prenez la notice de la voiture et détecter l’emplacement du démarreur. Une fois que c’est fait, tapotez légèrement au niveau de la zone qui est pointue, au niveau de ce dernier. Il est possible que le moteur électrique du démarreur soit bouché par la présence d’un amas de charbon. Cette action permettra alors, de dégager ces amas de charbon et ainsi, permettre au courant de mieux passer. Autrement, faites une action qu’on appelle « contre-attaque ». Pour ce faire, faites-vous aider par des personnes de la maison qui vont pousser légèrement la voiture. Au volant, vous mettrez votre vitesse en seconde, et appuierez sur la pédale d’embrayage. Dès que vous prenez un peu de vitesse, lâchez la pédale, le moteur devrait alors, s’emballer et actionner le démarreur.

Problème de l’anti-démarrage ou d’un moteur noyé

L’anti-démarrage peut également être la cause de la panne. L’anti-démarrage, c’est un mécanisme qui vous permet d’éviter qu’on vous vole votre véhicule. Ce dernier peut s’activer même si vous faites entrer votre clé, et empêcher que le moteur démarre. Pour éviter cela, assurez-vous d’avoir entré le bon code pour débloquer l’anti-démarrage avant de démarrer votre voiture. Si vous vous trompez plus de 3 fois, le démarreur va se bloquer automatiquement et vous ne pourrez refaire un essai qu’après 30 min. Il est également possible que la télécommande de ce dispositif soit à plat de batterie. Si c’est le cas, il suffit de la remplacer. Il est aussi possible que vous soyez obligé de refaire l’action avec la télécommande, parce que comme c’est un dispositif électronique, il peut avoir une petite panne et ne pas reconnaitre la commande du premier coup. Et enfin, le souci de panne au démarrage peut aussi provenir d’un moteur noyé. Cela se remarque en période de grand froid. Vous essayez alors, de démarrer votre voiture à plusieurs reprise en appuyant sur la pédale d’accélérateur, mais au lieu de faire tourner le moteur, l’action provoque une montée d’odeur de carburant suffocante. Cela veut dire qu’il y a trop d’essences dans le moteur. Attendez quelques minutes avant de redémarrer votre moteur dans ce cas. Le surplus d’essence va s’évaporer entre temps. Vous pouvez aussi dévisser vos bougies et les enlever. Ceci étant, prenez une petite flamme et mettez-la au niveau de l’électrode. Cela va permettre de bruler l’excédent d’essence qui a fait noyer le moteur.

Un moteur diesel est aussi propre qu’un modèle à essence

Un véhicule diesel roule avec un carburant beaucoup moins raffiné que l’essence. Le gazole est deux fois plus lourd. Ce qui le rend plus épais et polluant aussi. Ceci dit, les voitures qui carburent à ce dérivé du pétrole sont souvent conformes à la norme environnementale européenne EN590. Ce qui place les voitures diesel au même pied d’égalité que celles roulant à l’essence sur le point de vue écologique. D’ailleurs, les véhicules utilisant ce carburant léger sont soumis à l’écotaxe.

L’un offre le rendement, l’autre apporte la fiabilité

En termes de performance, les deux motorisations se valent. Ceci dit, une voiture diesel offre plus de couples à bas régime. En d’autres termes, vous disposez d’une puissance sans forcer sur le nombre de tours. Cependant, le bruit d’un moteur avec une compression du moteur élevée peut aussi être plus fort. Pour ce qui est de l’entretien, la voiture à essence est nettement plus facile. Les pièces de rechange coûtent beaucoup moins cher. Puis, sa fiabilité est aussi un autre point essentiel.

D’autres détails qui vous aident à décider votre motorisation

Une voiture à essence coûte moins cher à l’achat et pour l’entretien. Ce qui la rend idéale pour tous les jours. Cependant, le gazole reste plus abordable à la pompe. De plus, une motorisation diesel est conçue pour consommer le minimum de carburant. Elle convient donc pour un véhicule utilitaire. La rentabilité est effective à partir de 20 000 km par an. Les pièces des diesels sont plus onéreuses. Heureusement, elles sont solides et tombent en panne rarement.

Les permis de conduire A et B

Le permis A1 est possible à partir de 16ans. Il permet de conduire des scooters homologués avec un moteur de 125 cm3 ou un peu moins. Il faut avoir 20 ans pour pouvoir conduire une vraie moto sans limitation de cylindrée avec le permis A. La catégorie B commence celle des voitures. Accessible à la majorité, elle se destine pour les véhicules de tous les jours à condition de peser moins de 3,5 tonnes. Une remorque de 750 kilogrammes est aussi autorisée. Deux ans après l’obtention du permis B, il autorise à conduire une moto de plus de 125 cm3. Il faut juste 7 heures de formation complémentaire.

Les autres catégories pour les véhicules utilitaires et spécifiques

Octroyée aux titulaires du permis B de plus de 21 ans, la catégorie C se destine aux voitures de plus de 3,5 tonnes. C’est le papier indispensable pour certains 4×4 ou minivan. Pour passer au bus et aux camions, il faut un permis D. L’aptitude physique est primordiale. En effet, la validité est assez limitée pour les personnes âgées. Le permis F se destine pour les poids lourds. Les conducteurs de véhicule de plus de 12 tonnes de poids vide l’ont tous. Pour les véhicules à remorque, il faut avoir le permis E et être âgé de plus de 21 ans. De nouvelles catégories ont vu le jour. L’AM est pour le cyclomoteur, dont la cylindrée n’excède pas 50 cm3. L’A2 permet de conduire les motos sans avoir 21 ans. D’autres variantes de B existent aussi. B1 est pour les voiturettes et les quads. BE convient pour d’autres utilitaires spécifiques. Ainsi de suite, les catégories C, D et E ont aussi leurs ramifications.